• Samouraï japonais powaPour l'anniversaire de mon frère, j'ai repris mes crayons en essayant d'être plus dans le réalisme et les détails. J'ai travaillé avec différentes mines de crayons à croquis, allant du 6B pour les plus foncés au 2H pour les plus clairs. Je suis donc revenue a du crayonné et ai laissé lâchement la colorisation pour d'autres dessins.

    Le format est du A3 cartonné lisse, collé sur un fond pour faire le cadre. J'avoue avoir passé beaucoup plus d'heure qu'en moyenne sur un de mes dessins, détails obligent ! Je me suis un peu inspirée de plusieurs costumes traditionnels des samouraïs en mélangeant pour trouver une armure qui me convienne. Bref le samouraï est terminé et je suis plutôt contente du résultat, ça m'a motivée pour en faire d'autres, mais euh... pas tout de suite ;)

    Samouraï japonais powa

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  • Voici donc le point culture du jour, non-exhaustif, sur les films d'animations japonais et leurs réalisateurs.

    Dans l'ombre de MiyazakiDans l'ombre de MiyazakiDans l'ombre de Miyazaki

    Attention au départ en Terre du soleil levant, veuillez vous déchausser en entrant dans le temple de l'animation japonaise et de ses petits bijoux du cinéma !

    Avant que certains ou certaines ne crient au scandale je tiens à préciser, que dans un soucis de longueur et surtout de cohérence de mon propos j'ai laissé de côté tous les films d'animations tirés d'adaptations animées plus longues, et que je me suis concentrée sur une majorité des films d'animations qui ont réussi à venir jusqu'à nous, pauvres occidentaux que nous sommes.... Pour plus de lisibilité sur cet article qui se veut le plus informatif et chaleureux possible, je l'ai organisé en grandes parties. Sur ce bonne lecture !

     

    • Des réalisateurs qui ont fait leurs preuves

    Derrière le géant Miyazaki, il y a d'autres petits géants qui ont déjà prouvé qu'ils étaient capables de tout, voir même du meilleur ! Voici quelques petits incontournables pour briller en société dans un restaurant japonais même s'il est tenu par des chinois ou des coréens, ou par une autre communauté asiatique...

    Dans l'ombre de MiyazakiNuméro 1 : Isao Takahata, est un réalisateur qui faisait lui aussi parti de la TOEI (l'Hollywood nippon) avec Hayao Miyazaki, c'est ensemble qu'ils créent les studios Ghibli, au tout départ du voyage en 1985 ! Alors taxé de feignant par son collègue, il a cependant à son actif des films magnifiques dont vous avez sûrement entendu parlés, même si vous ne les avez pas encore visionnés : Le tombeau des Lucioles (1988), Pompoko (1994), Mes voisins les Yamadas (1999) ou encore Les contes de la princesse Kaguya (2013). Le talent d'Isao Takahata ne vient pas de ses dessins, puisqu'il ne dessine pas lui même ses œuvres, il embauche des dessinateurs pour ça, non sa particularité c'est la diversité de ses thèmes et sa façon de les traiter. Il est capable de se renouveler à chaque fois. 

     

    Dans l'ombre de MiyazakiNuméro 2 : Satoshi Kon décédé en 2010, pour notre plus grand regret il est l'auteur de l'ultime chef d’œuvre Paprika (2006), une plongée dans le monde des rêves, mais aussi Tokyo Godfather (2003), Perfect Blue (1998) ou Millennium Actress (2002). Beaucoup plus proche du réel et de la vie quotidienne, sa filmographie est un peu plus noire mais toujours empreinte de sa patte très reconnaissable... Il dépeint la vie de son mieux, ce qui fait souvent de ses films des grands drames sociaux avec des touches d'humour, parfois noir mais toujours juste. Un prix du festival des films d'animations d'Annecy porte même son nom, tellement l'homme fût talentueux !

     

    Dans l'ombre de MiyazakiNuméro 3 : Keiichi Hara qui débute fort avec Un été avec Coo, petit film sur l'amitié entre un kappa et un petit garçon, puis revient toujours plus convainquant avec Colorful (2010) un film prenant aux couleurs magnifiques qui raconte l'histoire d'un esprit qui essaye de se racheter en réintégrant le corps d'un adolescent, très poétique et poignant de mon point de vue. Plus récemment, il nous est revenu en pleine forme avec : Miss Hokusai (2015) qui raconte l'histoire romancée de la fille du peintre (inconnu n'est-ce pas ?) Hokusaï. Keiichi Hara a été primé pour chacun de ses films, remportant plusieurs fois la palme d'or du film d'animation à Annecy pour Colorful (décidément à voir) et Miss Hokusaï.

     

    Dans l'ombre de MiyazakiNuméro 4 : Hosoda Mamoru, si ce réalisateur a été formé à bonne école puisqu'il sort (comme beaucoup) de la TOEI il a été peut-être injustement recalé des studios Ghibli... mais cela ne l'a pas empêché de réaliser en solo des films dignes du box-office comme Les enfants loups Ame et Yuki (2011). De mon point de vue, ce n'est pas forcément son plus réussi... Il ne faudrait pas oublier qu'il a aussi réalisé La traversée des temps (2006) et Summer Wars (2009) deux animations beaucoup plus intéressantes à mon goût que les enfants loups... Et durant l'été 2015 The Boy and the Beast, plutôt sympa aussi ! Après si son nom vous dit quelque chose c'est aussi qu'il s'est occupé du long métrage One Piece (et oui... j'avais pourtant dit que je ne parlerai pas d'animés...).

     

    Dans l'ombre de MiyazakiNuméro 5 : Makoto Shinkai, beaucoup plus dans le sentimentalisme mais toujours dans le fantastique ou la science-fiction, avec des films comme The Garden of Words, Biosoku 5 centimeter, ou la Tour au-delà des nuages. Pour ma part j'ai vu les deux derniers que j'ai trouvé pas mal, mais très très accès sur les sentiments... Par contre les décors sont vraiment époustouflants.

     

    Dans l'ombre de MiyazakiNuméro 6 :  Masayuki Kojima connu surtout pour son Piano Forest (2007), qui porte (on s'en doutait) sur l'apprentissage du piano de deux jeunes garçons que tout oppose. Une belle réussite, notamment grâce à ce lien d'amitié et ce piano "magique" perdu dans la forêt. Il est aussi l'auteur du Chien du Tibet (2012), Fire Force DNA Sights 999.9 (1998) et il a signé l'adaptation en film d'animation du manga de science-fiction post-apocalyptique Spirit of the Sun avant de s'attaquer à l'adaptation animée de Monster entre 2004 et 2005.

     

    Dans l'ombre de MiyazakiNuméro 7 : Yasuhiro Yoshiura, jeune réalisateur découvert réellement grâce à Patéma et le monde inversé (2013), une histoire de science-fiction dans un des avenirs probables autour de l’inversion de la gravité. Vraiment agréable à la fois au niveau du synopsis, des personnages et des décors. Il avait déjà à son actif des longs métrages comme Pale Cocoon (2006) et Time of Eve (2010), un peu dans la même veine, mais pas vraiment disponibles en France malheureusement...

     

    • Les réalisateurs d'un seul film

    Si certains multiplient les succès, ou du moins se lancent dans plusieurs projets, certains réalisateurs n'ont à leur actif qu'un seul film, et pourtant, on en aurait aimé plus !

    Dans l'ombre de MiyazakiDans l'ombre de MiyazakiDans l'ombre de MiyazakiDans l'ombre de Miyazaki

    C'est le cas de Nizō Yamamoto qui adapte La forêt de Miyori (2009), d'après une œuvre originale d'Hideji Oda, le film raconte l'histoire d'une petite fille qui découvre qu'elle est la gardienne d'une forêt et toutes les responsabilités que cela implique... Certes ce réalisateur ne compte donc qu'un seul film à son actif et ce n'en est pas lui le scénariste mais il peut se vanter d'avoir travaillé avec Isao Takahata sur la série animée Anne la maison aux pigeons verts. Il a également fait parti du studio Ghibli, chargé des décors notamment du Tombeau des lucioles, Princesse Mononoké, ou le Chateau dans le ciel et il a ensuite créé son propre studio (Kaieisha). Son nom est donc à retenir...

    On peut aussi citer : Lettre à Momo (2011) réalisé par Hiroyuki Okiura, qui a pourtant été nominé lors du festival du film d'animation d'Annecy et a remporté le prix du jury de "Mon premier festival" à Paris en 2012. Depuis plus rien.... Ou encore Origine, une fresque fantastique avec pour décors un futur post-apocalyptique où les esprits de la forêt reprennent leurs droits sur la Terre... Sorti en salle japonaise en 2006, il a été réalisé par Keiichi Sugiyama, plus habitué à la création de musiques de jeux vidéos, mais qui a pourtant travaillé sur des animés très connus comme City Hunter , Macross ou Neon Genesis Evangelion. En remontant encore dans les années 2000, on trouve Mind Game (2004) une animation délurée, tirée du manga éponyme de Robin Nishi, et réalisé par Masaaki Yuasa, celle-ci nous fait plonger dans une course avec Dieu lui même pour réécrire la vie d'un mangaka "raté".

     Deux films plus connus pour leurs noms que pour leurs réalisateurs (encore une fois j'ai envie de dire) qui dans le domaine de l'animation de science-fiction japonaise se font une belle part, même si leur succès est très discuté... Steamboy (2004) de Katsuhiro Otomo, ce dernier est d'ailleurs certainement plus célèbre pour son manga adapté en animé Akira que pour son film... Comme quoi l'animation ne paie pas toujours. Et le sur-méga-connu, enfin pour toute personne née dans l'ère de la game-boy --', Ghost in the Shell (1995) par Mamoru Oshii, qui est le premier d'une longue série qui changera maintes et maintes fois de réalisateur et de scénariste... Même si les puristes vous le diront, il se fait voler la vedette par Innocence, Ghost in the Shell 2 (2004) aidé par Hiroyuki Okiuraau au carac-design (et vous savez comme c'est important).

    Ensuite j'en oublie (sûrement), j'ai vu passer dernièrement quelques infos sur un certain Redline (2010), qui promettait de belles choses, mais je ne l'ai pas visionné.

     

    • Les studios Ghibli

    Ici je vais vous présenter d'autres animateurs tout droit sortis de la maison Ghibli, cette grande maison de l'animation qui a tout de même fini par se faire racheter par Disney au grand damne de Miyazaki son créateur (oh noooooooooooooooooooooooooon).

    Dans l'ombre de MiyazakiPour l'anecdote, savez-vous que dans l'ombre de Miyazaki, il y a un autre Miyazaki ? Son propre fils, Goro Miyazaki, qui injustement comparé à son père, a pourtant fait de son mieux dans ses deux longs métrages Les Contes de Terremer (vous savez le film que personne ne comprend...) et La colline aux coquelicots. Comme quoi sortir des studios Ghibli n'est pas forcément un avantage en soi... Vous pouvez en parler à d'autres oubliés des studios comme Tomomi Mochizuki qui réalise Je peux entendre l'océan (1993), un film loin d'être surmédiatisé...  Parmi les autres noms qui ne passent pas à la postérité il y a  Yoshifumi Kondo qui meurt trois ans seulement après avoir réalisé Si tu tends l'oreille (1995), seul film à son actif, auquel fait écho le Royaume des chats (2002) réalisé lui par Hiroyuki Morita. Y figure aussi Hiromasa Yonebayashi auteur d'Arietty, le petit monde des chapardeurs (2010) et de Souvenirs de Marnie (2014) qui quitte d'ailleurs les studios après ce dernier long métrage. Si vous vous demandiez pourquoi dans les différents films de Ghibli vous ne retrouviez pas toujours l'univers magique auquel le grand Hayao Miyazaki vous avez habitué, maintenant vous savez pourquoi !

     Et encore ici je me suis cantonnée à parler des seuls réalisateurs, mais ils ne font pas le film tout seul, loin de là ! Il faut compter aussi les scénaristes, les assistants, responsables d'animations, chefs décorateurs, coloristes, et que sais-je encore qui pullulent dans la liste des participants à la réalisation du film dans les génériques (oui ces petites écritures à la fin des films que franchement peu de gens personne ne prend le temps de lire....) : Bref le boulot d'animateur ce n'est pas de tout repos...

     

    • Et les femmes dans tout ça ?

    Dans l'ombre de MiyazakiDéjà quand on lance une recherche "réalisatrice et /ou scénariste japonaise" la liste se restreint sérieusement, alors si en plus on rajoute le facteur "animation"... soyons sérieux la liste est difficile à établir ! Mais en arpentant la toile je vous ai tout de même dénichés : Satoko Okudera scénariste de Ame et Yuki, les enfants loup et Summer Wars. Et oui j'en suis fière :D ! Mais ce qu'il y a de bien dans la japanimation, c'est que bien que non visibles dans les équipes de productions, les filles sont tout de même bien représentées, car la majorité implique des personnages féminins très intéressants dans les synopsis. Les fillettes sont d'ailleurs aux premières loges (en particulier chez notre cher Hayao Miyazaki ! Même Porco Rosso basé sur l'histoire d'un homme au visage de cochon, est en fait un prétexte pour raconter l'histoire d'une jeune fille mécanicienne...).

     

    Sur ce je vous laisse, avec cet article qui se voulait le plus complet possible. Avec les recherches que j'ai faites, je me suis rendue compte, qu'il y avait encore pleins de films d'animation que je n'avais pas encore vu... Il faut dire qu'ici je ne vous ai parlé en majorité que des films licenciés en France, donc qui sont parvenus jusqu'à nous, et ce en laissant de côté les adaptations d'animés. Bref vous aurez compris que c'est une véritable mine d'or et que ce serait dommage de vous en priver... En espérant vous avoir donné envie d'en parcourir certains ! Sérieusement, plus j'ai avancé sur cet article et plus je me suis rendue compte de ma propre ignorance dans ce monde si vaste de la jap'animation !

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    3 commentaires
  • Le cinquième élément  

     Voila un de mes derniers dessins complets, autre que du gribouillage dans un coin perdu d'un post-it... Il date de décembre (Joyeux Noël !) et c'était en réponse au Dragon vs Samouraï que vous avez pu voir précédemment. Pour changer mélange des médiums :

     

    - Base au crayon à papier

    - Traits aux crayons et pinceaux à encre

    - Coloration aux crayons de couleur et feutres

    - Fonds aux crayons de couleur et pastels

     

    Enfin "pastel" est un bien grand mot c'est plutôt une méthode ancestrale de débrouillardise quand on n'a pas de pastel mais des feutres, un pinceau, un pot d'eau et une vieille pochette plastique ! Donc étape un coloriez avec votre feutre la pochette plastique, étape deux trempez votre pinceau dans l'eau et mélangez le feutre avec, étape trois appliquez le pinceau sur la feuille. En fonction de la dilution "eau + feutre" avec le pinceau, vous pouvez obtenir des teintes vives ou plus claires !

    Dessin sur du papier dessin A3, et j'ai bien retenu la leçon : "T'as vu hein, y a pas de blanc !"

    Les quatre fées représentent chacune les quatre éléments : feu, terre, eau et air => Alors laquelle est laquelle ? Regardez bien dans leurs balles de DBZ (Oui ça me fait rire --')

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  • En tant que grande fan du pays du soleil levant et de ses films d'animations,

    je me suis rendue au "Game in Miyazaki" (où là au moins on m'aurait reconnue si j'avais ressorti mon cosplay --') le 6 février 2016 à l'USJ...

    Game in Miyazaki

     

    Game in MiyazakiNon l'USJ n'est pas un club de foot... C'est une maison de quartier du côté de la gare Saint-Jean à Bordeaux, pour en savoir plus c'est par ici, qui propose sur cette journée une immersion par le jeu dans l'univers du célèbre Hayao Miyazaki. Pour ceux qui ne savent pas encore qui c'est, si je vous dis Princesse Monoké, Nausicaa, Le voyage de Chihiro, Le château dans le ciel ou plus récemment Le vent se lève ça vous rappelle quelque chose ? Sinon filez les voir d'urgence et au diable le Monsieur d'Animasia qui dit que Hayao Miyazaki c'est le mal car il a monopolisé le marché de l'animation japonaise à lui tout seul, et que d'abord on connait pas assez tous les autres talentueux auteurs de films d'animations comme Isao Takahata ou Satoshi Kon ou encore Mamoru Hosoda... Vous voulez qu'on parle de Walt Disney ? Sérieux...

    Petite parenthèse : Je ferai une petite fiche sur les réalisateurs de films d'animations japonaises si ça vous intéresse, comme ça vous pourrez dire à ce Monsieur que, certes vous avez commencé avec Miyazaki et d'ailleurs merci à lui d'avoir popularisé ce genre sous nos latitudes, mais vous avez ensuite eu envie d'aller plus loin et vous avez découverts d'autres monuments. Mais de toute façon on ne peut pas nier que l’univers de Miyazaki est unique et son imaginaire très prenant...

     

    Bref, assez divergé sur le sujet. Au programme de la journée : des jeux, des jeux et encore des jeux : le PARADIS !

     

    Game in MiyazakiEt là mon instinct de gameuse ne fait qu'un tour (ou peut-être celui de la gamine qui est en moi ^^) : Nous partons dans la quête que nous lance dame Nature au travers du labyrinthe de la course de chat-bus, puis sous l'océan concocter des potions avec Fujimoto (le papa de Ponyo), en s'enfournant dans le brasier de Calcifer résoudre un puzzle, pour enfin essayer de pulvériser le score de lancer d'avion à l'Aéro-porc de Porco-Rosso. Je vous dis que c'est triché les avions en papier sont plus légers et d'abord mon avion il vole pas droit depuis qu'il s'est pris un nuage... Comment ça c'est de la mauvaise foi ?

    Après toutes ces péripéties, nous avons réussi à gagner dignement nos petites graines en suivant les noiraudes (vous savez les petites boules noires) et puis nous avons pu tester aussi en vrac : les pompons noiraudes avec des yeux parce que c'est mieux ! Maquillage de Mononoké pour certains et Rubans de Kiki la petite sorcière pour d'autres... Partie de laser game dans les bâtiments pour la fermeture, (Je veux un fusil d'assaut ! Comment ça c'est fait pour viser ? Moi je veux tirer dans le tas !) jeux de plateaux d'Asmodée avec l'association Ludoludik.

    On a d'ailleurs testé un jeu génial : Esquissé où il faut écrire un mot, passer au voisin qui dessine, passer au voisin qui essaye de deviner, passer au voisin qui dessine ce que l'autre a deviné et etc... jusqu'à ce que l'ours polaire devienne Olaf ou un western spaghettis un Monsieur qui mange une glace ou du pop-corn... Sur jeu PC des combats Super Vilain vs Super-Héros et où le but n'est absolument pas de connaître les commandes mais d'appuyer au hasard pour découvrir des coups WTF et envoyer l'adversaire dans le décor avant de lui balancer un panneau dans la figure. (Oui j'ai adoré le concept et alors ?) Un atelier kapplas pour tous les habitués : Haha petits joueurs, une base triple tient mieux qu'une base de deux ! Comment ça c'est pas comme ça qu'on construit une tour ? Des années d'expérience je vous dis !

     

    Et puis je découvre étonnée que l'an dernier c'est en Terre du Milieu qu'ils ont emmené leur public, et je me dis que j'ai du louper pas mal de chose donc je reste attentive à la prochaine édition. Dans quel monde va-t-on partir pique-niquer l'année prochaine ?

    Game in Miyazaki

    Un dessin VIP à celui ou celle qui découvrira l'allusion secrète de cette dernière photo ! :D Dans tous les cas moi je dis qu'avec des yeux l'avion voit mieux donc va plus loin CQFD !

    Crédits Photos : Merry Curry

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    2 commentaires
  • Un weekend digne d'une Geek...

     Animasia 2015 : Geekattitude

     Le weekend du 10 et 11 octobre 2015, se déroulait la 11ème édition d'Animasia. Histoire de se rappeler que cet événement a commencé avec un public très restreint dans les locaux d'un cinéma fort sympathique : le Jean Eustache à Pessac, dans lequel se déroule aussi le festival du film d'Histoire, mais ça, ça en est une autre... d'histoire. ;)

    Bref donc Animasia c'est un festival qui est dédié à la culture asiatique, d'où mon envie d'y mettre les pieds. D'autant plus que cette année, il s'annonçait aux couleurs de la Corée du Sud et je n'ai pas pu résister à l'appel ! Pour me fondre dans le monde des geek, j'ai donc choisi un cosplay, sauf que... J'ai fait un choix incongru et plutôt inconnu du grand public : le personnage de Navet dans Le château ambulant de Miyazaki (film d'animation à voir !)... Du coup je me suis retrouvée comme ça :

     

     

    Animasia 2015Un navet navrant et navré ... de ne pas être reconnu "Pfff ! Ben puisque c'est comme ça restez incultes !"

    Et quelle belle transition pour vous présenter une charmante petite aventure audio, dont l'auteur JBX était présent au festival. Et que (là non plus... --') personne ne connaissait... à priori à cause du succès du Donjon de Naheulbeuk, mais dans l'ombre du géant se cachait : Reflet d'Acide ! Pour ceux qui auraient envie de le (re)découvrir c'est par ici :

    => Calembourgs, rimes et fou rire au rendez-vous !

    Autre rencontre fort sympathique : Les Noobs qui étaient derrière leur échoppe made in MMORPG, pas très loin de JBX d'ailleurs puisqu'il joue dans leur websérie... :D si vous voulez vous plonger dans leur univers des jeux en ligne c'est par là (ouais je change un peu ici et là...) :

    => Attention ! ça va vous donner envie de jouer XD

     

    Même si je me suis sentie soudain vieille après ces deux rencontres... mais pas pour les mêmes raisons :

    1) Reflet d'Acide ça date un peu ... début des années 2000 avant l'apparition des youtubeurs, nous connaissions les podcasteurs et ... c'était bien !

    2) Les Noobs touchent un public trèèèèèèèèèèèès jeune (du moins sur le Sud-Ouest) : faudrait changer cette tendance ...(en fait en y réfléchissant, c'est l'âge que j'avais à l'époque des podcasts...)

    Sérieusement je ne pensais pas être si vieille jusqu'à ce jour oO !

     

    Sinon en vrac : on a testé tout plein de jeux de société, on a vu les limites de l'accueil du Hangar 14, on n'a pas testé Just Dance, on a bien rigolé, on a joué à Street Fighters sans se lasser, on a perdu de l'ouïe à côté du stand de K-Pop, on a tendu l'oreille pour écouter une conférence sur le grand Miyazaki et son studio Ghibli qui faisaient de l'ombre aux autres scénaristes de film d'animation, on a vu passer l'équipe du Joueur du Grenier dans le dos de Merry Curry, on s'est fait totoriser (ouais j'adore cette expression qui consiste à se transformer en Totoro ^^), on a goûté la cuisine coréenne (enfin les restes), on a mangé des kit-kat et des mikados au thé vert, on est allé en Back-stage derrière la scène pendant le concert du Neko Light Orchestra (en attendant désespérément qu'ils nous chantent les Chevaliers du Zodiaque ... ah non ça c'était juste moi --'), on a attendu  3h pour rentrer, on a fait du découpage, pliage de personnages de film de Miyazaki, on a dégusté des sushis sur les bords de la Garonne, on a vu des goodies,on a eu des goodies, on a vu des gens, pleins de gens, plus ou moins connu, plus ou moins bien déguisés, ...

     

    Animasia 2015 : Geekattitude Bref Animasia c'était vraiment sympa, mais pour être honnête j'ai préféré le BGF, alors que ce n'était que la première édition... Donc j'ai grand espoir pour la deuxième :D

     

    Pourquoi ? Plus d'espace et moins de gens déjà (mais ça risque de changer), mais aussi et surtout des espaces dédiés aux interventions et conférences. C'est vrai que profiter de la culture coréenne entre l'entrée principale et le stand de K-Pop... C'est pas vraiment possible... Et c'est bien dommage parce que c'était LA spécificité d'Animasia par rapport au BGF... Ensuite les stands et les invités, rien à y redire : c'est un peu la même chose, faut dire que c'est le même univers ^^ Reste que le BGF préfère se consacrer aux personnalités plus "locales".

     

    Je ne nie pas le travail (à mon avis énorme et que je ne me représente pas vraiment) de tous les bénévoles pour faire fonctionner cet événement d'ampleur. Par contre, il va falloir, sérieusement, changer de lieu afin d'accueillir au mieux la foule immense et permettre aux visiteurs de respirer... 15 000 entrées sur le weekend ... L'engouement n'avait peut-être pas encore été détecté, mais je pense que l'accueil est à repenser pour le bien de toutes et de tous.A bon entendeur ;)

     

    Bravo et Merci en tout cas de nous proposer ce genre d'évènement :D   

    Et sinon une nocturne c'est organisable ???

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire